Ce que j'ai constaté n'est pas une dilatation du flexible (le palmer ne détecte rien) mais qu'il devient rigide. No comment bande de gorets lubriques .
le flexible caoutchouc a une certaine épaisseur, et rien n'empeche la matière de se comprimer, sans forcément constater de variation de diamètre à l'extérieur quand j'ai récupéré ma 500, les durits avaient l'age de ses artères elles étaient un peu craquelées et je peux te dire qu'à la compression du maitre cylindre on voyait sans même toucher qu'il y avait une variation dans la matière
Bonjour à tous Ancien possesseur d'une 400N, j'avais exactement les mêmes étriers et émetteur de frein av que toi. J'ai réussi à rendre ces freins potables (sans plus...) avec les interventions suivantes : Nettoyage général à l'alcool, changement des joint de piston, plaquettes neuves durits neuves. A ce niveau, de nul, c'était devenu mauvais, malgré un liquide de compète dot 5.1 et une purge aux petits oignons. Désespéré le François!!! Le Jeanjean31,ancien possesseur dans les années 80 de cette brêle, m'a donné une astuce : Après avoir tout purgé, démonter les étriers, les maintenir avec la purge en point haut. Ouvrir cette purge et repousser le piston bien au fond de son logement. Des bulles apparaissent malgré la purge précédente... Bien sûr, faire l'autre coté ensuite. Là, ça freine correctement. A+ François
Je le répète souvent, pour purger de l'étrier au maître cylindre il ne faut pas de partie plus haute sur le parcours, en partant de l'étrier dont il faut orienter avec la purge au plus haut.
Merci pour vos conseil. Sur ma 500KLE neuve en 2006, je sentais la durit gonfler sous mes doigts lorsque j’actionnais le frein. Une durit «avia» avait grandement amélioré le freinage.
Je commence à découvrir l'engin. Démontage des carters extérieurs gauches pour jeter un oeil au pignon de sortie de boite et là, surprise, un bon quart de litre d'huile qui coule :