millevaches 2015

[Aurelia B20]

C'est la tête qui fait le rebelle Jean-Mi, pas une barbiche ou des tatouages ...

Des news du Miaou, t'as cassé quoi ??? Rien de grave ?

[Ise]

Je ne me lasse pas de vous lire et relire, de vous chercher sur les photos, merci d'avoir pensé à nous rapporter tout ça
Vivement demain que Miaou et Philard et d'autres (?) racontent leurs péripéties

[draknor]

Pour Miaou, il a cassé l'Amigo à Bretenoux et a fini en train
Il est parti ce matin dès potron-minet le rechercher avant d'aller au taf

il vous racontera les détails

[K1ka]

Bravo les gars pour tout
et surtout d'avoir contribuer au retour à la normale de Philard

[Tiger.09]

et bien quelle hécatombe cette année Deto, puis Miaou les 2 sans pouvoir aller au bout... puis si j'ai bien compris Bidouille avec plusieurs arrêts et pas de neige...

bon ça sera pour l'année prochaine, mais se sera définitivement sans moi, je préfère voir les photos de mon fauteuil

félicitations quand même à tous ceux qui l'ont fait

à+

Tiger

[Ise]

M'enfin Tigrou t'as rien compris ?
Il faut des pannes pour que ce soit marrant
Deto en fait il était super content de rester au chaud
Et Miaou il y est allé pisqu'il a fait le pilier de buvette avec Phil. Sa panne c'est que sur le retour

Alors les aventuriers, on est prêt à vous lire

[Bidouille]

Sal's
La suite
Notre Jean-minou dubitatif devant la qualité du assitoilà chinois qu'il vient de cassé .
Avec comme petite phrase d'accompagnement " on peut réparer ??? "



Philard nous sort sa boite de "cassoulet " .
Alimentation fortement déconseiller par mon tube digestif qui était déjà en fête
Je lui ai dit : si tu montres cette boite à Ise tu vas te faire tuer , c'est pas du cassoulet pour moi.
Il m'a dit qu'il aimait bien cette marque .
Ise , s'il te plait , fais quelque chose pour notre ami Philard



Comme promis, j'ai eu le droit à mes Petit Bit
Ne voyez de sexuel bande de petits cochons pervers , ni le moindre bout de de bâche de protection aromatiser à la fraise .
C'est des petits bonbons qu'on suce ou qu'on croque



Une petite devinette
Qui à pris modèle sur qui ???
Il y a quand même un air de ressemblance



Comme tous les ans, le petit cadeau de bienviendu offert à tous les participants.
Cette année , un petit porte-monnaie en cuir ( de vache ou vachette )



Je suis quand même content que notre yéti est repris une forme humaine

A suivre ............

[ded31]

Ho put'1 le cassoulet de merdre !
Là, j'ai honte pour vous, fectivement !

[Bus]

Nous montrer une boite de cassoulet comme ça, c'est comme si on sortait une Kronenbourg à l'ami Philard
La Kro j'aime bien, mais ça ne vaut pas une westmalle
Pour sa défense, ça ne doit pas être simple de trouver un authentique cassoulet en Belgique

[philard]

Vous avez tous lu dans votre jeunesse "Les belles histoires de l'Oncle Paul", voici maintenant les belles histoires de l'Oncle Phil ou de tonton Philard:

J’avais envie de l’écrire et de partager ce que j’ai vécu au plus près de la réalité…c’est un peu long mais vous n’êtes pas obligé de tout lire non plus…

« Comment se les geler ou les Millevaches en moto. »

Après une préparation sommaire mais ô combien importante de la bécane pour rouler en condition hivernale, il faut bien évidemment penser au confort du pilote. Chacun y va de ses astuces et expériences pour ne pas terminer le périple comme un glaçon. Pour ma part, j'avais prévu un doublon de tous mes vêtements chauds, un duvet polaire, un lit de camp sur tapis plastic à bulles pour être isolé du sol et une petite tente d'une place et demi pour "confiner" dans un petit volume le peu de calories dégagées la nuit. Et ça marche plutôt bien : Le matin, ce qui s’était gelé la journée se dégelait au fil des heures avec la relative chaleur expirée de mon corps.
Les fringues, c’est une chose mais il faut penser à se sustenter lors du voyage, J’avais lu que lors des hivernales, il faut ingurgiter 4000 calories pour garder un équilibre ! Bouteille thermos avec café, lait condensé sucré, biscuits énergisants et autres tablettes m’ont donc accompagné lors de la descente vers le massif central.
Une préparation minutieuse du voyage sur carte (je le suis beaucoup moins en été) doublé du road book Tripy m’ont définitivement mis à l’abri d’une erreur de parcours involontaire qui parfois quand il fait très froid et qu’il fait clair de 08h20 à 16h50 vous fait dire : Plus jamais ça,… je fais demi tour…, mais qu’est ce que je fous ici loin de tout et au milieu de nulle part par 0 degré… J’abandonne et retourne en train !
Non !, merci Tripy grâce à ce GPS intelligent, je suis allé jusqu’au bout.

Bon assez de blabla, en route pour tester tout ça en vrai. Après une trop courte nuit peuplée de rêves bizarres et d’un peu de stress devant l’inconnu, jeudi matin Marose me fixait sur la pellicule, mais un brin d’émotion envahissant ses petites mains rendait la photo floue ! Elle me l’a avoué à mon retour, elle craignait pour mon petit cœur…mais en aucun cas ne voulait m’empêcher de vivre cette aventure de retrouver des potes là bas loin dans le suuuuud ! Elle m’avait demandé à quel niveau se situait Millevaches et pour la rassurer je lui avais répondu au même niveau que Lyon…Donc il allait faire bon ! (Sauf que Lyon c’est sur le Rhône et que le massif central c’est sur un massif à près de 1000m d’altitude !)


Départ à 08h30, T° : 2° et cette température n’a jamais vraiment décollé au-delà de 4° tout au long de ma première étape… Longue, très longue étape par les départementales et quelques nationales. Pour avancer un peu au début et se dire que cette fois on y est vraiment dans la France profonde, j’ai emprunté un bout d’autoroute entre Rocroi et Reims.
Ensuite par le chemin des écoliers, Troyes, Auxerre, je sais plus par ci par là, quelques arrêts, biscuits, café, jus d’orange, pipi pas KK…


Arrivée à Montluçon vers 18h00 et quelques 650kms… Aucun problème, aucun souci et un confort parfait sur la Funduro.

Bien calé entre le guidon et le paquetage sur le siège passager. Les cavalières bien chargées sur le réservoir m’ont parfois gêné en virage serré mais rien de bien méchant et j’ai trouvé un truc pour les relevés un peu en les fixant par un élastique à la sacoche de résé. Montluçon, sa ville, son motard fatigué, son Campanile et après un frugal dîner, douche et dodo à 21h00… J’étais fatigué de cette (trop) longue étape. Demain allait être un autre jour et une toute petite étape de +/- 180 kms.
Vendredi départ 09h30 après un p’tit-déj copieux pour rester calé jusque le plateau. Miaou m’avait dit il n’y a pas grand-chose à voir dans le coin mais fait le petit détour par le village sculpté de Masgot (prononcer magôt) voir les photos sur internet. J’ai fait ce petit détour en vitesse voir vidéo. Ok, ce n’est pas le Louvre, mais le village vaut le coup d’œil surtout en été j’imagine. Retour sur la route et direction Millevaches. Je commence à monter sur les coteaux du massif et les limousines brun doré me toisent…tiens un train à deux roues qui fait poumpoumpoum… Salut les filles, c’est encore loin vos pâturages ? Petit et dernier arrêt pour manger un bout et boire un bon café et ensuite gazzz jusque là haut. J’ai bien fait de m’arrêter au sec car il commence maintenant à bruiner et mon arrivée à Millevaches se fera sous la pluie carrément. Passage par l’accueil super organisé, petit cadeau de bienvenue, un brin de causette avec le président Bill himself, laissez-passer accroché à la veste, et ensuite direction le bivouac.

Gigantesque, des dizaines d’hectares rien que pour nous, des chapiteaux à l’entrée, le photographe immortalise l’instant de la « pénétration » dans ce monde chaleureux malgré la fine pluie et on remarque ma plaque belge…on m’applaudit…merci les gars mais je suis ici incognito hein pas de quoi faire une ovation non plus ! Pas encore grand monde à 14h00…J’ai le choix de m’installer là, là ou encore là, donc je vais là… Je suis seul devant cette immensité verte. Je pose la moto sur sa béquille latérale en ayant pris soin de mettre la planche à couper le saucisson dessous la béquille, elle ne bougera plus de tout le WE… Elle est bien en vue pour que les autres qui arrivent plus tard la repère. Que je croyais ! C’est sans savoir que le flux des motards arrivant de toutes parts est incessant.


Je devais être bizuté et mon baptême était de faire du feu et de garder un emplacement pour les potes. J’ai d’abord installé la tente et le couchage loin des bouses de vaches en ayant pris soin de laisser les autres places aux potes Des taupes et des bouses partout…pas les potes mais le terrain… Bon, faire du feu, j’avais prévu le coup et avais emporté des allumes feu et du petit bois bien sec.

Il m’en fallait un peu plus et je suis donc allé chercher d’autres petits bois et des bûches. 3 fois de suite, puis, j’ai arrêté en me disant ils vont arriver et il n’y aura plus qu’à alimenter avec le bois qu’ils iront chercher. Parce que moi, je pouvais plus bouger, la place réservée était trop belle pour touts les teams qui arrivaient de plus en plus nombreux, mais je commençais à avoir des crampes dans les jambes et dans les mains à cause du froid. Avec les motards, fallait se la jouer serré et poliment dire qu’ils aillent voir plus loin… Certains râlaient mais les autres en voyant l’immatriculation me disaient ah ok, t’attends d’autres belges… Oui c’est ça…


La papote avec les voisins super sympas, la poignée de main de Vogel le créateur du side à 3 roues motrices, l’apéro avec l’autre voisin (il n’y a pas d’heure) goûter la cerisine que sa femme fait elle-même, manger un bout de gâteau sorti tout droit du coffre du Side Vmax superbe, l’après-midi passait vite. Je commençais à avoir un peu faim et en attendant, je me suis pris quelques morceaux d’un délicieux saucisson ardennais fumé aux baies de genévrier celui qui donne le cancer et qui va être interdit avec la nouvelle loi !!! et j’ai attendu, attendu et attendu en refusant du monde, en mettant une bûche de temps en temps… et enfin sur le coup de 18h30, un petit mono « flat one » dans la nuit tombée…, Steph-Miaou de Toulouse et son amigo…Salut, bonne route ? Aucun problème, il était en plus passé par Meymac faire du shopping…pour ne pas avoir faim ! Il monte sa tente et après, il me demande c’est ça ton feu…oui, c’est NOTRE feu… il est allé chercher des bûches pour faire un plus beau feu encore…On n’ a pas eu froid et le feu que j’avais allumé a brulé sans s’arrêter tout le we grâce à Boris devenu maître des flammes et chef-coq.

Soif ? Pas vraiment, l’abreuvoir abreuvait tout qui voulait boire, du potage, du vin rouge, blanc ou rosé, de la bière du café… On est donc allé se jeter une (ou deux) petite bière avec Steph à l’abreuvoir et c’est bien évidemment à ce moment qu’est arrivée le reste de la troupe du Bitza Moto Club… Contents de se revoir ou de se connaître enfin…Quel bonheur, nous étions tous là sauf Deto qui a fait faux bon sa BMW attelée refusant de tourner avec un régulateur cramé ! Les charges du side ont été réparties sur les autres bécanes et il y en avait de la charge ! de quoi tenir un siège de quinze jours ! Que fait-on quand on se retrouve après autant de mois ? Ben on boit un ch’tit canon pardi et pî on partage la bouffe jusque bien tard dans la nuit… Je suis allé « dormir » vers minuit…

DU VECU : Essayé de dormir passske le froid, c’est envahissant jusque la pointe des pieds… Et pî quand t’as bu de la bière, faut la pisser, et là, les aminches…j’ai dû me lever vers 3h30 par -3°C… Alors déjà la tente elle est petite et pas moyen de te tenir debout ni accroupi, t’es en calebard pieds nus, tu dois t’habiller pour sortir sous peine de faire une pleurésie pneumonique…tu t’assieds sur le lit qui se retourne d’un coup, t’es le Q par terre, tu cherches ton pantalon et tu essayes d’enfiler tes boots, crémilllliaaard didju, tu ouvres les 3 tirettes de la tente et tu sors à 4 pattes, tes mains sont vite givrées et tu te redresses, tes os craquent de partout et enfin tu es debout mais il fait noir et tu ne t’éloignes pas trop de la tente abri… Tu essayes de trouver l’engin tout racrapoté par le froid, tu prends une fourchette et tu le sors, t’as plus envie de pisser, c’est passé, mais tu dois quand même pisser… Alors, tu as vu le beau side à côté de ta tente et tu lui pisses dessus, hop ni vu ni connu…Bon t’as fini, tu rentres en marche arrière et tu refais en ordre inverse ce que tu as fait pour sortir. Tout est froid et humide, tu te mets dans le duvet et tu trouves plus le zip, t’allumes la baladeuse…enfin tu vois le zip et tu essayes de fermer mais tu es couché sur la fermeture…grmmmmblfff ça y est t’es empaqueté mais tu as oublié de fermer la lampe, tu réouvres le duvet, tu fermes la lampe, tu fermes le zip sans prendre ta barbe dedans passske ça fait mal et tu peux enfin essayer de te rendormir…mais tu es à côté de Jeanmi et …vous le connaissez la nuit, il aime compter et couper les stères de bois…. Bref, la nuit fût courte !

Le lendemain matin, on peut enfin mettre un visage sur les noms…il fait clair ! Ils sont tous bien ces motards…de jolis garçons…


Bon, on a une journée à finir, on va faire un tour du paddock, on rencontre des tas de gens, on fait causette, on prend des photos, on admire les bécanes…et il y en a un paquet : 2500 inscrits et avec le soleil on était à plus de 3000 voire 3500 motos.

On ne sait pas où donner de la tête et des yeux tellement il y en a, de la vénérable avant guerre au dernier missile sol-sol. Toutes les marques sont représentées dans toutes les catégories (trail, cross, roadster, sportive, side…)

Des montages astucieux, d’autres plus…oufti ! des belles des crades, il faut de tout pour faire un monde et les Millevaches c’est un monde vraiment à part qu’il faut avoir vu au moins une fois dans sa vie.


Midi, c’est l’heure du déjeuner mais avant c’est l’apéro : du jaune, du truc et du machin… avec foie gras aux truffes d’Upignac ou nature de France…

des salaisons, des noix de cajou, des olives, des trucs et des machins, rien qu’avec l’apéro, t’as plus faim mais pourtant, il y a encore tant de bonnes choses à manger, le reste du bœuf-bourguignon de Jeanmi mangé la veille pour dîner. Des saucisses, des entrecôtes, des côtelettes d’agneau…les fromages, les desserts crème caramel ou clémentine, du gras et du bon… ; et à boire…les bières, le cubi de 25L de rouge, du blanc…. Non je n’ai pas eu faim et personne d’ailleurs. On refait un petit tour du bivoauc pour accélérer la digestion, ou on descend à Meymac acheté des baguettes et on casse son nouveau câble d’accélérateur sur la K4 à Baphi…
Bidouille n’est pas grand sportif et préfère slalomer dans le paddock avec sa belle petite XR, Jeanmi, Miaou et moi on est parti ensemble à pied 3 fois faire le tour du bivouac et on s’est perdu 3 fois… Je suis allé retrouver un gars du forum bmw que j’avais jamais rencontré, il fait aussi partie du club des BFG. Et la première personne à qui je m’adresse c’était lui…dingue la coïncidence !

On s’est échangé des petits présents pour notre rencontre et on se reverra c’est sûr… Chez lui, seul dans son tepee de 8 personnes, il m’a fait goûter un rhum antillais à l’orange dieu que c’était bon !

Ensuite, on recommence à manger le soir pour le dîner…même chose, on doit prendre nos 4000 calories par jour ! Et pî comme c’est la dernière soirée au coin du feu, on cause avec Steph, Bidouille, Jeanmi, Baphi et on apprend à connaître les « nouveaux » de notre petit groupe Boris, Stéphane, Marcel, Pascal, Cédric aussi mais pas avec nous dans le cercle, leur(s) bécane(s), leur bateau, leur bagnole, leur passion… On a tous à peu près la même passion pour tout ce qui roule et bouge un peu différemment.

Samedi soir au coin du feu, on a ouvert une bonne bouteille de vin de noix trouvée chez Bitza. Bidouille nous l’avait gentiment descendue et on a tous eu autour du feu rassembleur une bien belle pensée pour notre ami Dan Bitza. Si la liqueur n’était plus trop bonne, elle aura donné au feu de magnifiques flammes, la flamme du souvenir… Dan, on sait que tu étais avec nous ce soir…Salut l’ami!

Bon, c’est pas tout ça mais il n’est que 23h30 et si quelques uns (les plus jeunes et moins résistants) dorment déjà, on se dit qu’on pourrait aller boire le « cougnet » à l’abreuvoir avec Bidouille, Jeanmi, Stéphane, Steph et moi même, ce qui fût fait et après quelques canons, on est allé se coucher vers 1h. (J’ai pris soin de prendre avec moi une bouteille pissoir pour ne plus avoir la même déconvenue de la veille…)

Très peu dormi encore avec beaucoup de bruit autour et alentours du bivoauc…Tout le monde n’a pas compris l’esprit d’une hivernale et si quelques allumés ont fait le rupteur dans la soirée, la nuit fût plus agitée par des poivrots que par des moteurs.


Dimanche matin, réveil pénible de ne pas avoir dormi beaucoup, mais quand c’est l’heure faut y aller. Le petit déj vite fait et démontage des tentes. Miaou est parti de très bonne heure et je n’ai pas eu l’occasion de le saluer…

Probablement qu’il sentait l’écurie et qu’il a foncé vers Toulouse, un peu trop vite, son Amigo n’a pas tenu  Après le démontage et le chargement sur les bécanes par -4°, c’était le moment des adieux. Belles accolades à tous et encore un bout de chemin avec la bande jusqu’à Aubusson et puis, chacun vers sa destinée… La descente du massif parfois sur des œufs avec le verglas en bordure de route, fallait bien regarder dans certaines portions où mettre les roues… Mais tout s’est bien passé.

De mon côté, seul j’ai continué vers Montluçon, Bourges, Clamecy, Auxerre et Troyes où j’ai fait étape. Enormément de brouillard à partir d’Auxerre et pas « safe » de continuer dans le noir à 25km/h. Visière relevée et lunettes baissées (des yeux et un visage bouffi, ça se voit sur la photo de l’hôtel) J’étais content d’arriver à Troyes (même si j’étais seul) Je n’ai, pas emprunté tout à fait les mêmes routes de l’aller et j’ai pu tester la route N151 Varzy Auxerre 60 bornes avec votre nouveau règlement à la c*** à 80km/h toute la route grrrrrrrr c’est long et on se traîne…
Troyes une super douche bien chaude, un rasage et un petit tour en centre ville que je ne connaissais pas. Magnifique avec les illuminations et les maisons à colombages superbes.


Un bon petit resto dans une vieille taverne et puis dodo. Le lundi, retour sur mon Arbre sans traîner mais avec le brouillard de Troyes (-2°) jusque la frontière (4°). Arrivé à la casa avec le grand bleu (3°) vers 14h00. Loeka m’a fait la fête comme si j’étais parti 3 mois ! Elle a eu son petit biscuit et elle s’est calmée ! J’ai sorti tous les bagages et mis la tente à sécher sur la terrasse, ça pue le feu de bois comme pas possible, mes fringues pareil, c’est déjà en machine…

MERCI à TOUS pour m’avoir fait découvrir cette belle hivernale. C’était vraiment chouette de vous voir et revoir, ça m’a bien plait ! J’ai certes oublié des tas de choses à dire mais je les garde bien dans ma tête rien que de bons souvenirs…