A chaque fois que le rupteur s'ouvre, il se produit une étincelle à la bougie . Donc à chaque fois que ta lampe s'allume , c'est le moment de l'étincelle . Mais il faut que tu sois sur qu'elle se produit bien au moment de la phase de compression , c'est à dire quand les deux soupapes sont complétement fermées avec le piston au PMH Et puis il faut absolument contrôler le jeu aux soupapes , même si tu n'y a pas touché
Le plus grand effort de la passion est de l'emporter sur l'intérêt .
Pour moi l'étincelle c'est fulgurant, donc je l'associais au moment le plus court, donc celui où la lumière était éteinte
J'ajoute à cette nouvelle donnée ton explication de je ne sais plus quand sur le stockage des poissons qu'on relâche d'un coup, et la lumière se fait jusque parmi mes neurones
Les soupapes après le petit-déj
Toujours placer la barre haut… c'est plus facile pour passer dessous
Ma théorie sur la mémoire : on accumule en laissant en surface ce qui est susceptible de re-servir, comme dans les armoires : au fond ce qu'on n'utilise jamais (je t'avais bien énervé cette fois-là hein ). Mélanger pêche et mécanique c'est dans les cas extrêmes, pas sûr que ça te re-serve un jour
Eh bien je n'ai rien fait
J'en ai ras la casquette je suis dégoûtée archi dégoûtée, alors je lui fais ta tête, je lui passe devant en l'ignorant royalement pour jouer de la tondeuse et du sécateur, comme si elle n'existait pas. Je suis en colère, énervée : je fais plein d'autres choses que j'avais délaissées pour elle, des choses qui aboutissent, des choses qui sont belles finies, qui font que je me couche le soir satisfaite... Ca me rend malade (si si, envie de vomir, pointe de culpabilité) mais tant pis, j'attends que l'envie revienne. Ca doit rester du plaisir...
Toujours placer la barre haut… c'est plus facile pour passer dessous