Le coin de l'ancètre...

[K1ka]

:D
1- tu abordes un virage à gauche,
2- la voiture dérape et part à droite,
3- tu contre-braques (orientation des roues avant à l'opposé de la direction que tu avais prise auparavant),
4- "La voiture s'arrête de pivoter et se remet dans l'axe de la route",
5- quand tu vois que le véhicule est à nouveau dans l'axe souhaité tu remets les roues dans l'axe du véhicule et de la direction désirée, on a évité la gamelle on peut continuer le voyage

Tu peux aussi voir tout ça comme suit:
Au lieu de te placer dans la voiture tu te places sur le bord de la route, un repère fixe.
Les roues avant (à supposer qu'eles ne glissent pas) doivent etre placées dans la direction que la voiture doit suivre.
En ligne droite, droites et en virage sur l'arc du virage.
Dans un virage a gauche les roues arrieres sont plus à gauche que les roues avants. Les roues avant sont donc braquées à gauche.
Si, à cause de la force centrifuge, l'arriere glisse, les roues arrieres vont passer à droite des roues avants.
Les roues avants doivent rester dans la direction du virage (sans bouger par rapport à la route, ton repère) il faut donc qu'elles soient maintenant braquées à droite.

C'est comme si, en ligne droite, une force mystérieuse poussait le cul de la voiture à droite, il faudrait que les roues soient baquées à droite pour continuer à suivre la ligne de la route.

En fait, vu du repere fixe de la route, les roues avants ne bougent pas, elle sont toujours dans l'axe de la route ou sur l'arc de la courbe, c'est le cul de la voiture qui se déplace et qu'il faut toujours ramener dans l'axe des roues avant en braquant ou en contre-braquant.

Bon, n'essaie pas le premier jour de tes lessons de conduite moto, ni après d'ailleurs

[Do-Clo]

Mais non, le Tigre, ne sors pas les dents et les griffes, le petit a bien fait de montrer ce qu'est le véritable contre-braquage : à la suite d'une perte d'adhérence de la roue arrière dans un virage !
Je le précise dans ma vidéo.
Élève Tiger : vous re-visionnerez la vidéo 100 fois...

À K1,
Merci d'avoir précisé ces choses à Ise, ta manière de le faire est très pédagogique. Je n'avais pas voulu la reprendre sur son 2è point.
D.

P.S.- En tous cas, ce dérapage contrôlé à moto est de toute beauté! Chapeau à l'artiste!

[Ise]

Une interro écrite ? Pas fière l'Ise pour les interros J'espère qu'on me soufflera

Tigrou t'as pas suivi on est parti du contre-braquage de Do en Corse, puis toujours Do en Alpine...
Alors oui la vidéo de Dark Vador elle va bien ! Surtout pasqu'elle a permis à mes yeux de bien voir ce que c'est. Je croyais avoir une hallucination j'ai regardé plusieurs fois pour être sûre

Aaaaah K1ka génial génial mercimercimerciiiiii Du coup je comprends mieux les drifts que j'ai regardés à la suite de la vidéo de Do ! Et aussi la vidéo de Draknor ! J'adore j'adore j'adore !!!
Et euh j'ai une 'tite question : tu émets une réserve "si les roues avant ne glissent pas"...
Sans passer au cours de patinage artistique, je me demande si à force de gigoter comme ça l'arrière ne risque pas de passer devant ? Hm apparemment non si tu es attentif justement à garder tes roues dans l'axe de la route. Ca se tient, merci
D'ailleurs quand j'y pense... Je vous ai dit que Japanise est floue de l'arrière... Eh bien je me concentrais sur l'avant me disant que l'arrière suivrait

Je peux ? C'est cool que les hommes aiment les arrière-trains féminins mais perso moi je trouve ça encombrant, comme l'arrière d'une voiture

Pour revenir à Ta vidéo Do, j'ai une question : c'est le montage qui fait que le point ne bouge presque pas, ou alors c'est toi qui arrives à tourner sans bouger le guidon ?

[philard]

Je te déconseille de te concentrer sur l'avant... le contre-braquage est une chose qui vient naturellement au guidon. Un peu comme K1Ka l'a expliqué, la roue reste dans l'axe de la route et c'est l'arrière de la bécane qui dérive. S'il dérive trop, alors le pilote appuiera le contre-braquage. Mais naturellement, il ne faut rien faire.

Le plus important c'est la technique du regard qui se porte là où tu veux aller; ça demande un entraînement certain avant de bien maîtriser. Lors de l'escapade dans les Pyrénées, j'ai remarqué que très peu de motards utilisent cette technique. Elle ne paraît pas naturelle et pourtant, la moto va là où ton regard se porte, dans des virages à angles droit ou dans les épingles, il t'arrive de regarder loin à la sortie du virage et ta tête est complètement tournée alors que le virage n'est pas encore entamé...

Illustration. Lorenzo devant Rossi. Rossi a la tête plus tournée que Lorenzo en fin de courbe. Ils regardent tous les deux le même points de sortie et ne regardent pas la route devant eux. Il est même probable que Rossi ne fait plus que deviner où est Lorenzo devant lui...


Autre illustration la moto suit le regard du pilote...sans commentaire


et enfin la photo cachée de K1Ka dans Motomagazine


A propos de moto mag, j'ai pu me le procurer en Provence et je l'ai dévoré...l'article avec Bernard bien sûr mais plein d'anciens potes dedans comme Marco de Brooklands tidju..en retraite aussi lui, et pî tous les autres...Belle revue, articles moyennement fouillés par les journaleux, mais un bel ensemble tout de même. DAns le LVM, pas mal de copains aussi avec le tour de Provence et une belle délégation belge et le Liège Nancy Liège... avec les habitués de mon Arbre à Cames.

[Ise]

T'inquiète je regarde pas mon guidon, j'y pense juste. Je regarde où je vais, comme sur l'Amigo... (et comme tu m'as fait mon plus gros compliment de ma vie au sujet de ma conduite dessus, j'en attends un encore plus gros sur Japanise ), comme sur mes skis, comme sur un canasson... D'ailleurs lors de ma Japanise balade number 2 j'ai regardé par deux fois mon compteur, et j'attendais d'être sur du plat-droit-sans gravillons

Si je peux me permettre, la technique du regard en avant c'est quand tu as bien compris comment ça marche et que ton corps a des réflexes. Pour ma première leçon avec Semama, il m'a montré les manettes, les vitesses, et après quand on a démarré vraiment, eh bien je devais me rappeler tout ce qu'on avait dit pour bien faire, et c'était pas évident car pas des gestes connus. Pourtant je me forçais à regarder en face pour enregistrer les gestes sans les voir. Comme quand t'apprends le piano. Ou la dactylo. On te cache les touches.

Fabuleuse cette photo merci

Pour la BD je comprends, c'est le souci quand tu mélanges texte et image. Quand tu quittes le texte t'es tout perdu

Pour la deuxième BD Oh Punaise oui c'est lui ! Je le reconnais ! C'est sa 750 four : elle est rouge

(Pour le magazine j'ai pensé leur proposer de relire tous leurs articles avant parution pasqu'il reste des fautes Mais bon vu que Tigrou est sur l'affaire, il va leur proposer sous peu un correcteur d'orthographe au top )

[Do-Clo]

Vous la voulez, ou pas, la 3ème étape corsoise?

"Après le grandiose petit déjeuner d’Anik, nous prenons le chemin des écoliers vers la grande route Ajaccio-Bastia, que nous rejoindrons à Ponte-Leccia. Au bout de quelques kilomètres la vue depuis un petit col me donne envie de faire une photo. Mais... impossible de retrouver l’APN : je l’ai oublié au gîte.
Je redescends, sachant que mes comparses m’attendront à Ponte-Leccia. Ce n’est pas une punition, au contraire, je suis tellement heureux de rouler en solitaire, à mon rythme (un bon rythme...). Je retrouve, vus à la montée, les animaux, les plaques de gravier, les bûcherons qui ont envahi une partie de la route après le virage de la fontaine...
Anick m’attend en bas de sa maison, l’étui de l’APN à la main — qui était resté accroché à une poignée de porte.

Je repars pour ma course de côte, à la rencontre des bûcherons, du gravier, du troupeau de cogliers*. Ces 30 kilomètres (en passant par Morosaglia) seront pour moi un véritable cadeau. Surtout que la descente vers la plaine est magnifique. Je suis presque déçu de retrouver les autres près du pont, et de devoir m’arrêter.

Notre itinéraire-maker a décidé de nous faire passer par la Scala de Santa Regina, un défilé rocheux bien connu mais toujours aussi beau, qui mène, par la somptueuse forêt d’Aïtone, au col de Vergio, et à la côte occidentale, près de Porto.

Mais avant d’en arriver là, nous allons découvrir une petite route qui n’est pas la plus rapide évidemment : c’est celle qui passe par Papalasco (je sais que vous avez la carte Michelin sous les yeux pour suivre...).
Le détour en vaut la peine, elle est pleine de charme dans son étroitesse, son décor et sa vacuité. Je découvre, en levant les yeux, un petit village perché, dont seule l’église dépasse des arbres. Si j’avais été seul je serais allé voir ça. Mais je suis à la queue, à cause des photos!


Puis c’est le défilé de Santa Regina, des gorges étroites faites d’amoncellements de roches déchiquetées. Quelques séquences vidéos pour voir passer les 2 petits jeunes , et on continue.




Louis et moi faisons un arrêt-carburant dans une petite station service dont la caisse est au bar d’à-côté, alors que Didier, toujours bouillant d’impatience, nous ayant annoncé qu’il nous attend «un peu plus loin», continue. Sa BM 1200 GS Adventure a un réservoir de tanker qui permet 600 km.

Après le plein, je pars avant Louis, en lui disant :
— Didier nous attend un peu plus loin.
Je suis un peu surpris de ne pas le voir avant les dernières maisons, et je ferai encore, avec plaisir, en solitaire, un bon trajet, à travers la magnifique forêt de pins lariccio, droits comme des mâts de navires, serrés comme des allumettes, imperturbables depuis des siècles. Mon père, dans les années 50, parlait de cette forêt avec émotion.


La fin de la montée vers le col de Vergio est une merveille : large route au revêtement parfait et aux virages harmonieux. On peut y lâcher la cavalerie, et entre deux virages atteindre bien vite un nombre à 3 chiffres sur le compteur de gauche. Le vrai régal, cette route, déserte à cette époque. Pas de village, ni de ferme, pas d’animaux errants.
Au col majestueux, mon Didier est assis au soleil, sur un banc, sous la protection de la Vierge. Il précise le 2ème chiffre du nombre qu’il a atteint dans un bout droit entre deux virages : 2.

Louis arrive bientôt, et comme moi, il s’est étonné de ne voir personne pendant des kilomètres, et croyant s’être perdu, a demandé à plusieurs personnes si elles avaient vu passer des motards.

Petite flânerie en descendant sur Porto par la belle route.

Nous décidons soudain de prendre une minuscule route à droite qui descend dans un ravin pour atteindre Ota. Je suis devant, Didier suit tout près, je regarde dans mon rétro pour voir si Louis est là : je le vois prendre l’épingle étroite au revêtement défoncé, et je continue en évitant les trous et les bosses de ce chemin d’ânes à peine goudronné.
Alors que je photographie le vieux pont romain au bas de la descente, Didier me rejoint, un peu excédé de ne pas avoir pu m’avoir à l’intercom :
— Louis est tombé, je remonte, cette route est impossible!
Le Scala Rider que nous partageons est très capricieux, car le GPS de Didier a la priorité sur lui, et le déconnecte lorsqu’il doit annoncer quelque chose. Ce qui se traduit par une liaison tout-à-fait occasionnelle, et inexistante quand c’est important, bien sûr.

En réalité, seule la moto est tombée, immédiatement après que je l’aie vu amorcer l’épingle d’entrée dans la petite route. Louis ne sait pas trop pourquoi il s’est retrouvé avec une moto couchée sous lui. Pas de dégâts notables à la machine, qui est légèrement rayée du côté où il y a déjà eu une chute qui sera prise en charge par l’assurance : une auto avait, quelques jours avant, renversé la moto en stationnement.

Du coup nous abandonnons l’idée de passer par cette petite route et continuons vers la mer. À Porto, je ne peux m’empêcher d’aller voir une maison inscrite dans ma mémoire depuis l’enfance, alors que dans les années 40, elle était seule au bord de la route déserte qui menait à la mer.
C’est une maison dotée d’une partie arrondie qui fut, dès 1938 le premier hôtel de Porto (l’Hôtel de la Tour). Elle fut construite par un oncle, avec l’aide financière de mon père.
Elle est toujours là, bien entretenue, et bien entourée d’un tas de maisons, qui, maintenant, forment presque une rue jusqu’au port. Une petite-cousine y habite.

Le golfe de Porto :


Plus loin, les Calanques de Piana nous attendaient depuis l’éternité : elles ont tellement de choses à nous dire...
Assis sur le parapet, nous les écouterons un instant.


Les formes déchiquetées des rochers et des falaises prêtent à la rêverie, leur couleur ocre vif se marie bien avec le bleu intense de la Méditerranée, aujourd’hui calme comme un lac.


Sur un plan moins poétique, c’est ici que des embouteillages interminables ont lieu en été, parce que les cars pullman de tous les pays s’y donnent rendez-vous, mais ne peuvent pas se croiser.
Comme dans l’endroit ci-dessous :


Mais aujourd’hui, nous sommes presque seuls, à part quelques rares autos, et quelques motards que nous retrouverons dans le bateau ce soir.

Alors que nous avons eu des températures entre 5 et 10° dans la montagne, en-bas il fait plutôt chaud, et après le casse-croûte, nous chercherons longtemps un coin d’ombre pour “plier une paupière“, comme on dit à Toulon. Notre allure est vraiment modérée, les panneaux 30 sont même parfois respectés dans notre quête.
Finalement, un semblant de pénéqué sera possible dans une herbe fraîche à 2 pas de la mer, sous les pins.

Un dernier paysage de vacances avant de quitter le bord de mer pour nous rapprocher d’Ajaccio :


La route vers Ajaccio est large, lisse, et bien connue. Fréquentée aussi. En approchant de la ville, on y trouve même des radars. Puis nous plongeons dans la circulation dantesque de la fin de journée, nous faufilant vers le port qui ne nous ouvrira ses portes qu’un peu plus tard.

On y retourne quand?"
D.

*Coglier : mot inventé par un ami pour désigner les cochons corses, issus d’un croisement entre les co(chons) et les (san)gliers. On pourrait dire aussi sanchon, au choix...

[cacajou]

Quel beau voyage tu nous fais vivre .
Lire ça à 5 heure du mat ça donne envie d'enfourcher mémère ( la moto , hein ! ) et de filer plein sud .
Merci à toi .

[Do-Clo]

L'ancêtre sévit aussi sur un blog, où il invite ceux qui sont curieux — comme lui — ou qui ont du temps à perdre ...

Entre deux bêtises et trois textes plus sérieux, j'y parle peu de motos, je le reconnais !
Cependant, vous y trouverez, sur des sujets peu connus, des informations que je vous garantis absolument exclusives. Mais faut aimer...

Voici un extrait du contenu du blog à ce jour :



Lien dans ma signature.
Bonne lecture.
Et bonne fin d'année à toutes et à tous !

D.

[Do-Clo]

Bonsoir,

Il est arrivé !
Le voici multiple et bleu, qui vous attend.
Le port a augmenté au 1er janvier, le chèque sera donc de 22 € tout compris.

Le livre contient 21 chroniques sur et autour de l'auto, et ceci sur les motos :

• Le gant perdu (nouvelle) 149
• La gloire et le pain (nouvelle) 153
• Ferrari ou moto d’occasion ? 157
• La vieille moto neuve 161
• Crise d’accélération 163


Cordialement,
D.



Renseignements par MP.

[Do-Clo]

À propos du film cité sur l'autre post :
viewtopic.php?f=21&t=153&start=10
...je disais que j'allais faire mon "ancien combattant". Tant pis pour vous...

Ayant fait 3 fois les 24 heures de Spa en R8 Gordini, je peux vous parler de ce circuit et de ce raidillon. Pour nous, il était déjà impressionnant, surtout au début, alors qu'on ne pouvait guère y dépasser les 140 (à cause de la tenue de route "spéciale" de la R8. Sinon, avec la descente qui précède, on aurait pu y arriver plus vite). Le changement de profil provoque déjà à cette faible vitesse un écrasement de la suspension qui trouble un peu. Et puis ça tourne légèrement à gauche, puis largement à droite. Et là on s'aperçoit qu'on aurait dû ne pas tant ralentir, car on n'a plus de CV sous le pied...

Mais à chaque passage, la pompe de reprise de l'adrénaline se déclenchait...

Sur ce circuit (je parle de l'ancien, de 14 km), le passage le plus flippant pour moi était la courbe de Burnenville* : une courbe qui s'étendait sur 700 ou 800m, sur une route étroite et bosselée, au bord des maisons, où l'on passait quand même à 160, le cœur à 200, les mains moites, la trapanelle en perdition, qui (une fois les suspensions extérieures écrasées) acceptait le traitement qu'on lui imposait et glissait des 4 roues, interminablement.

Une année, nous avions comme concurrent sur une R8G d'usine un équipage composé du bon Jean Vinatier et de Mauro Bianchi (le grand-père du pauvre Jules Bianchi).
Mauro Bianchi, un sacré pilote n'a pas pu de but en blanc, maîtriser le caractère fantasque de la R8 à grande vitesse. Il est parti aux essais intelligemment, de façon prudente. Je le suivais à l'entrée de cette courbe, où il apprenait la trajectoire. J'ai été très content de moi quand, glissant des 4 roues je l'ai déposé au milieu de la courbe. Mais je suppose qu'il a vite appris...

Alors que nous avions gagné la catégorie 1300 l'année précédente, nous avons été éliminés sur une faute de mon co-équipier. Ce qui fait que nous n'avons pas pu disputer la 1ère place à Vinatier-Bianchi. Je regrette de ne pas avoir eu l'occasion de me mesurer à un équipage prestigieux, avec une auto équivalente.

Sur ce circuit, avant d'attaquer une longue mais légère remontée où la route était bien plus belle (mais où nous manquions de puissance), on devait négocier une double courbe à droite (Hollowel/Stavelot) qui comportait un petit mur à la corde. Je raconte dans "Mes autos émois", comment j'ai réussi à force d'auto-persuation, à passer à moins de 20 cm de ce mur. Ce qui me permettait d'aplatir la trajectoire et de conserver un peu de tours/minutes pour la remontée. Ce n'était pas facile car j'ai mis un certain temps à me rendre compte que à plus de 130, l'auto glissait des 4 roues et m'éloignait obligatoirement du muret.
Voici à droite le muret en question :


* Vous pouvez regarder aussi ce tour du circuit en 62, c'est le même que nous avions en 65/66/67.

On entend les commentaires de Lucien, le frère de Mauro Bianchi. Lucien devait se tuer en course peu après. Les trajectoires fort approximatives suivies par les GT qu'on voit ici, ne doivent pas servir de modèle. C'est du n'importe quoi, ce n'est pas une course, puisqu'on voit au début une 4 CV à contre-sens.
Mais dans ce film on a une très bonne idée de l'ancien circuit, et en particulier de la courbe de Burnenville, qui commence vers vers 1'30. Elle dure bien 20 secondes!
D.

P.S.- J'ai mis le lien pour le petit film en "capture d'écran", car au passage "Envoyer", le lien ne passe pas en entier, je ne sais pourquoi?