Quand la passion remplace l’ennui
Posté : 17 Juil 2020, 10:19
Bonjour à tous,
Petit nouveau je passe aux présentations comme il se doit
Nicolas (Nico pour... tout le monde), 42 bougies et 22 de permis moto. Étant un petit rouleur l’on pourrait bien me décrire comme motard du dimanche, cela expliquera probablement en partie mon évolution dans le domaine...
Bricoleur tous domaines, adepte du fais le toi même tant que t’es pas au bout de tes compétences ou de ton temps, sujet à être passionné pour trouver de vraies satisfactions, voilà ce qui pourrait me définir. Audiophile de longue date, une passion qui s’ajoute à celle de l’amour des véhicules anciens.
Après des débuts voir abus de jeunesse avec une petite Kawa ER5 et son moteur de 500 GPZ un poil dégonflé et un envoi en épave sur un accident des plus bête.... y en a t il un qui ne le soit pas... j’ai officié sans prétention sur un 600XT monté en supermotard. Puis l’âge du A bien révolu, j’ai voulu quitter ces japonaises de gauche et de droite pour passer à celles du centre qui ne peuvent décevoir au long cours, les Honda. Ohh je n’ai pas fait de révolution, mais c’était un rêve de gosse tout de même: quelques années de 750VFR Carat, suivis de dix ans de 800VFR FI. Le V4 Honda est un amour de toujours et pour toujours, pour moi une des merveilles de ce motoriste exceptionnel qu’est Honda.
Seulement voilà, la quarantaine arrivant, la maréchaussée étant omniprésente et devenue collectrice d’impots indirects comme à l’époque des seigneurs de France, j’en suis arrivé à m’ennuyer avec mon VFR qui pleure avec son pilote à 80km/h de s’encrasser et ne plus donner de sensations. J’en suis donc arrivé à la conclusions que le plaisir devait désormais émerger de la basse vitesse, et je suis passé pendant trois ans du coté obscur avec un FAT BOB 103CI, belle machine de caractère donnant quelques envies de tuning façon bobber mais un peu de nature à faire vider la tirelire à la moindre option labellisée. Un caractère bien réel, un style de vie à l’américaine, est ce bien pour moi....
Au final un bilan s’est récemment imposé, tout comme en voitures j’ai rapidement su séparer l’utile de l’agréable en mettant une ancienne sur le compte de l’agréable (une Triumph Spitfire 1500 cédée au profit d’un 1300 MK3 de 1970), la même séparation devenait logique et adaptée à mon usage, mes envies, concernant les deux roues. J’ai accompagné les années scooter de mes enfants avec un peu d’utilitaire pas cher: un Aprilia Atlantic 500 Sprint que j’ai toujours et bricole un peu... les motards qui vous croisent et ne vous connaissent plus comme si vous aviez entre les mains un instrument de trahison, cela m’amuse j’avoue, car je pense avoir l’esprit motard mais ses excès de communautarisme ne sont pas pour moi, qu’on se le dise
Ainsi s’est fait le choix, là encore un rêve de gosse, de me diriger vers les Honda de début 70, une suite tellement logique qu’on pourrait se demander pourquoi il a fallu autant de temps pour y arriver. Le manque de temps étant là néanmoins, pour le moment au moins, je ne me suis pas dirigé vers des machines nécessitant une lourde rénovation immédiate, mais plutôt , comme pour ma Spit’, des machines déjà retouchées, semblant à peu près correctes, avec quelques travaux forcément comme il y en a toujours sur une ancienne, mais sans non plus devoir payer le prix de la perfection et ne rien me laisser à bricoler... s’agirait pas non plus de s’ennuyer sur quelques journées d’hiver quand la météo ne permet pas d’oeuvrer sur les autres chantiers en cours, et y en a chez moi toujours plus que de temps pour les mener à bien dans un temps raisonnable
Mon choix s’est porté sur deux bécannes aussi proches que différentes, une Cb250 k3 de 1972, et une 500 four k1 de 1975, toutes deux au garage avec déjà quelques travaux en cours, vérifications d’usage, réglages... pas parfaites, quelques aberrations sous l’oeil et le ressenti de l’ex étudiant en genie mécanique que j’ai été autrefois, mais rien de méchant noté néanmoins pour le moment. Mon but: me rapprocher au mieux de l’origine, leur donner un peu plus d’historique personnel dans la vie et l’entetien que cela fut le cas par les précédents proprios, et les garder à vie, pour mon plaisir, et celui de mes enfants peut être par la suite, qui sait...
La première question qui viendra, au fil du temps et peut être des échanges avec votre expérience: ais je fait des choix corrects, dans des budgets corrects. Mais au fond peu importe maintenant, le gars assumera ce qu’il faudra faire pour les maintenir au niveau
Cordialement, Nico.
Petit nouveau je passe aux présentations comme il se doit
Nicolas (Nico pour... tout le monde), 42 bougies et 22 de permis moto. Étant un petit rouleur l’on pourrait bien me décrire comme motard du dimanche, cela expliquera probablement en partie mon évolution dans le domaine...
Bricoleur tous domaines, adepte du fais le toi même tant que t’es pas au bout de tes compétences ou de ton temps, sujet à être passionné pour trouver de vraies satisfactions, voilà ce qui pourrait me définir. Audiophile de longue date, une passion qui s’ajoute à celle de l’amour des véhicules anciens.
Après des débuts voir abus de jeunesse avec une petite Kawa ER5 et son moteur de 500 GPZ un poil dégonflé et un envoi en épave sur un accident des plus bête.... y en a t il un qui ne le soit pas... j’ai officié sans prétention sur un 600XT monté en supermotard. Puis l’âge du A bien révolu, j’ai voulu quitter ces japonaises de gauche et de droite pour passer à celles du centre qui ne peuvent décevoir au long cours, les Honda. Ohh je n’ai pas fait de révolution, mais c’était un rêve de gosse tout de même: quelques années de 750VFR Carat, suivis de dix ans de 800VFR FI. Le V4 Honda est un amour de toujours et pour toujours, pour moi une des merveilles de ce motoriste exceptionnel qu’est Honda.
Seulement voilà, la quarantaine arrivant, la maréchaussée étant omniprésente et devenue collectrice d’impots indirects comme à l’époque des seigneurs de France, j’en suis arrivé à m’ennuyer avec mon VFR qui pleure avec son pilote à 80km/h de s’encrasser et ne plus donner de sensations. J’en suis donc arrivé à la conclusions que le plaisir devait désormais émerger de la basse vitesse, et je suis passé pendant trois ans du coté obscur avec un FAT BOB 103CI, belle machine de caractère donnant quelques envies de tuning façon bobber mais un peu de nature à faire vider la tirelire à la moindre option labellisée. Un caractère bien réel, un style de vie à l’américaine, est ce bien pour moi....
Au final un bilan s’est récemment imposé, tout comme en voitures j’ai rapidement su séparer l’utile de l’agréable en mettant une ancienne sur le compte de l’agréable (une Triumph Spitfire 1500 cédée au profit d’un 1300 MK3 de 1970), la même séparation devenait logique et adaptée à mon usage, mes envies, concernant les deux roues. J’ai accompagné les années scooter de mes enfants avec un peu d’utilitaire pas cher: un Aprilia Atlantic 500 Sprint que j’ai toujours et bricole un peu... les motards qui vous croisent et ne vous connaissent plus comme si vous aviez entre les mains un instrument de trahison, cela m’amuse j’avoue, car je pense avoir l’esprit motard mais ses excès de communautarisme ne sont pas pour moi, qu’on se le dise
Ainsi s’est fait le choix, là encore un rêve de gosse, de me diriger vers les Honda de début 70, une suite tellement logique qu’on pourrait se demander pourquoi il a fallu autant de temps pour y arriver. Le manque de temps étant là néanmoins, pour le moment au moins, je ne me suis pas dirigé vers des machines nécessitant une lourde rénovation immédiate, mais plutôt , comme pour ma Spit’, des machines déjà retouchées, semblant à peu près correctes, avec quelques travaux forcément comme il y en a toujours sur une ancienne, mais sans non plus devoir payer le prix de la perfection et ne rien me laisser à bricoler... s’agirait pas non plus de s’ennuyer sur quelques journées d’hiver quand la météo ne permet pas d’oeuvrer sur les autres chantiers en cours, et y en a chez moi toujours plus que de temps pour les mener à bien dans un temps raisonnable
Mon choix s’est porté sur deux bécannes aussi proches que différentes, une Cb250 k3 de 1972, et une 500 four k1 de 1975, toutes deux au garage avec déjà quelques travaux en cours, vérifications d’usage, réglages... pas parfaites, quelques aberrations sous l’oeil et le ressenti de l’ex étudiant en genie mécanique que j’ai été autrefois, mais rien de méchant noté néanmoins pour le moment. Mon but: me rapprocher au mieux de l’origine, leur donner un peu plus d’historique personnel dans la vie et l’entetien que cela fut le cas par les précédents proprios, et les garder à vie, pour mon plaisir, et celui de mes enfants peut être par la suite, qui sait...
La première question qui viendra, au fil du temps et peut être des échanges avec votre expérience: ais je fait des choix corrects, dans des budgets corrects. Mais au fond peu importe maintenant, le gars assumera ce qu’il faudra faire pour les maintenir au niveau
Cordialement, Nico.
