on va en prendre...

[Dominique]

Pourtant en 69 c'était plutôt érotique

Un truc à se retrouver cul par dessus tête

[Dominique]

En avion ça existe, on a même vu des avions dans la vallée du Rhône reculer avec le mistral

Quand le vent de face reproduit une vitesse suffisance à assurer la sustentation sans bouger par rapport au sol ça s'appelle du "vol relatif" toutefois, dans la même configuration, si on se déplace ça devient du "vol plané"
Ha oui et si on recule ?...du rétro-planing ? c'est très "corporate"comme on dit maintenant; et si on a deux ailes du business-biplan ?

[Aurelia B20]

[alain2933]

Bon c'est fait ça souffle encore mais normalement. Ce matin entre 5 et 7 ça envoyait bien (160 au Cap-Ferret) nous on a eu du bon 130 en rafales quoique je n'ai rien pour mesurer, c'est au ressenti...
La nature elle même s'est mise au tri sélectif, tout ce qui était un poil faible est par terre et les employés communaux s'affairent !

[PHILBOIS]

Bon c'est fait ça souffle encore mais normalement. Ce matin entre 5 et 7 ça envoyait bien (160 au Cap-Ferret) nous on a eu du bon 130 en rafales quoique je n'ai rien pour mesurer, c'est au ressenti...
La nature elle même s'est mise au tri sélectif, tout ce qui était un poil faible est par terre et les employés communaux s'affairent !

bon tant mieux pour tout le monde

[cacajou]

160 au Cap-Ferret)
Ha ! zut , Éole va se prendre un excès de vitesse

[alain2933]

163 même, c'est un excès de grande vitesse !

Je me souviens un jour à Camaret en Finistère vers 16h on était en pleine tempête. Habitant au-dessus du port juste derrière le sémaphore (aux 1ères loges quoi) je sors de l'atelier, enfin plutôt je pointe le bout du nez dehors et, sur les rafales, les arbustes de 2/3m se pliaient jusqu'au sol comme des élastiques ! Je me dis "Alain (c'est mon nom) ça envoie à bloc" Alors comme tout le monde là-bas, on prend la fourgonnette pour aller voir le spectacle à la pointe de Penn-Hir. Punaise, obligé de mettre la bagnole bout au vent tant on pensait que le vent allait nous coucher sur le côté. On roulait dans une couche d'écume de 70/80 cm de haut et sur les falaises à 80m au-dessus de l'eau : Dantesque ! On était alors dans ces valeurs là niveau vent au sémaphore.
Après c'est une affaire d'habitude, regardez les bretons comme ils s'affolent quand il y a du vent

https://www.youtube.com/watch?reload=9&v=SkVIqA2Vga0

[andre85]

Bonjour,
Je viens participer à cette petite discussion sur le tempête Amélie.
Deux petites photos pour vous montrer comment on "range" les bateaux après une tempête aux Sables d'Olonne.
J'étais encore en activité à cette époque et je peux vous dire qu'un nombre important de navires a fini à la casse.



Bonne soirée à tous.
Andre85

[Dominique]

"...nous on a eu du bon 130 en rafales quoique je n'ai rien pour mesurer, c'est au ressenti... !

Comme tu fais le "ressenti" au vent ?
Tu te penches en avant et tu fais mesure l'angle avant décrochage que tu reportes ensuite sur un abaque, ou bien tu sautes en l’air et tu mesures la distance de déportation ?
Moi j'ai acheté ça : https://www.amazon.fr/gp/product/B00W19EU36/ref=ppx_od_dt_b_asin_title_s00?ie=UTF8&psc=1
il y a une palanquée de modèle alors j'en ai choisi un qui a la plus grosse hélice en me disant que c'est probablement ce qui donne une mesure plus homogène que les toute petite turbine, mais peut être que c'est sans importance....

[Ise]

Géniale intervention, André, MERCI

Mr Ise et moi avons été locataires Place de Strasbourg aux Sables d'Olonne dans une vie antérieure : sans enfants
L'année d'avant nous étions à La Faute/Mer... Aaaaaah les crabes chez Gégène à L'Aiguillon
L'année d'après Mr Ise a obtenu un poste fixe à Castelnaudary, parce que je me suis sacrifiée : j'ai dit OUI
(Dans l'Education Nationale pour obtenir un poste fixe il faut accumuler des points soit en travaillant des années dans des zones "sensibles", soit en se mariant ; plus rapide mais dangereux parfois )

Je viens de longer le Boulevard Clémenceau avec Google, ça a complètement changé

Nous habitions au rez-de-chaussée de la maison jaune à gauche de La Piazzetta
Aux tempêtes nous faisions comme Alain nous prenions la voiture et allions nous poster sur les routes de corniche pour ouvrir la bouche et boire l'écume toute fraîche comme la mousse des bières à la pression
Une fois nous n'avons pas eu à sortir : la mer est passée par-dessus la murette de la plage et est venue jusqu'à notre porte